Les Cammazes par Durfort

Les Cammazes au départ de Durfort

5 volontaires au départ ce dimanche. Il est 7h30 et le temps semble bien parti. On arrive une heure plus tard à Durfort, le temps de s’équiper, on démarre à 8h45. Il ne fait pas chaud mais le ciel est bleu. 

On franchit le Sor par un joli pont pour le suivre un moment jusqu’à croiser un sentier qui part à gauche dans le bois et qui monte franchement. On enlève une première couche lorsqu’on atteint une piste bien large ; on poursuit sur la piste pour rejoindre une conduite forcée. 

Lorsqu’on atteint un bâtiment de service, le marquage indique un sentier qui part à droite de manière un peu escarpée, on prend quelques forces avant d’entamer la montée. Le sentier s’engage dans la forêt de l’aiguille, il est bordé de Jonquilles qui annoncent le printemps.

On atteint le Roc de l’homme point culminant de notre randonnée, on poursuit jusqu’à sortir du bois pour apercevoir le massif de la Tabe et ses sommets enneigés. Encore un petit kilomètre et nous voilà aux Cammazes. On visite l’église, puis la voûte Vauban.

Il est 11h30 et le ciel s’est un peu couvert, on suit la rigole de la montagne jusqu’au barrage de Gravette. On descend par une route d’exploitation aux pieds du barrage puis on poursuit par une large piste bordée une nouvelle fois par une conduite forcée. Le soleil revient, il est midi, on s’arrête déjeuner à l’intersection avec notre sentier qui descend pour franchir à nouveau le Sor. 

On entame la descente 45 min plus tard pour franchir la rivière par une passerelle fatiguée. Il nous faut maintenant remonter sur la crête, exercice toujours un peu difficile juste après le repas mais le sentier n’est pas trop raide. Il nous ramène jusqu’au Rabasset d’où les Pyrénées s’offrent une nouvelle fois à nous.

On longe la ferme du Montagnet, les brebis sont dans les prés, elles profitent du soleil. On atteint ensuite la ferme de Jacournassy en suivant une route déserte. On redescend légèrement pour atteindre une curiosité archéologique, un rocher à cupules aussi appelé « Rocher des fusillés ». 

On décide de rejoindre l’oppidum de Berniquaut car il n’est pas trop tard. Le point de vue sur Durfort, Sorèze et Revel est impressionnant. On y fait une pause pour en profiter avant de redescendre sur Durfort par un sentier assez raide.

On prend le pot de l’amitié à Durfort dans un bar fort sympathique ou l’on se partage les pâtisseries maison. 

Retour sur Colomiers vers 17h30 sous la pluie.

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